RAISON D'UNE CREATION

L'association Le Rassemblement contre le Racisme a été mis en place à Paris fin 1992 avec l'aide ,entre autre du Cicos et la Maison des associations de paris (j.o.du 10-06-93 art.174) suite à une histoire authentique mêlent racisme et injustice. En rénovant son hôtel, d'énormes dégâts ont été comis : expropriation de la cave, du couloir, de la cour et des toilettes, suppression d'une fenêtre, de deux portes, destruction de la cheminée, plafond et murs endommagés, tous ces dégâts ont été reconnus et certifiés par un expert et un huissier de justice. Mais au lieu d'optenir réparation et dédommagement le petit restaurateur face au grand hôtel qui a réussit à l'expulsé avec ses quatre salariés de son commerce et de son domicile et de faire vendre tous ses biens y compris lits, matelas, table chaises et affaires personnelles que la loi interdit de vendre avec la complicité du propriétaire des murs. Tout ce-ci par manipulation comme nous allons vous l'expliquez par la suite, en effet le propre avocat engagé par la victime faisait trainé les choses et ne se présenter pas aux audiances, tout en négligeant sa tâche, travaillait indirectement pour l'hôtel, en effet le restaurateur décide d'agir car déjà à la première expèrtise la moitié des choses n'ont pas été pris en compte. C'est en écrivant au juge qui a ordonné une extension d'expèrtise et sur le conseil d'un ami architecte qui la dirigé vers le service social du consulat de la Tunisie qui à son tour la orienté vers un avocat qui devait suivre parallèlement son dossier mais le premier avocat du restaurateur a refusé cela indirectement. Dailleurs, à la deuxième expèrtise ne s'est pas présenter. Mais l'avocat conseiller par le service social était présent y compris l'architecte et ce jour là l'expèrtise s'est bien déroulée ainsi que toutes les demandes du restaurateur ont été prises en compte et constatées. Après que l'expère à rendu ses conclusions se rendant coupable d'une faute professionnelle grave également,par solidarité ; tous ces faits causant ainsi l'exclusion et la marginalisation de la personne fondatrice de cette association .

Ceci entraina la résiliation de son bail commercial par un tribunal d'instance incompétent (Décret 53 du Code du Commerce),sans oublier qu'il y avait un litige de domages et interrets et une expertise judiciaire qui confirmer ces faits et un dedomagement d'un million et quelque de francs et ou la clause resolitoire ne peut pas jouer car la responsabilité du proprietaire est engager lorsqu'il y a des degats importants mais il y a eut l'expulsion de son commerce et de son domicile ainsi que la vente de tous ses biens y compris lits et matelas, que la Loi interdit de vendre aux enchères, d'après le Code Civil. Comme vous pouvez le constater quand un agent de l'administration commet une faute surtout quand elle est très grave et à connotation raciste il ne peut trouver que soutien et assistence même chez ses supérieurs sans oublier une presse qui n'ose jamais soulever un tel derrapage, par solidarité ou par peur et actuellement même la cours de cassation soutien et protège ces derrapages qui a une connotation raciste.

Ainsi, les lois républicaines sont bafouées.

L'association se démarque des autres associations monopolisant le social et l'humanitaire sans chercher à faire progresser les choses.

Notre association, tout en montrant l'exemple de la solidarité, grâce à un travail social, culturel et sportif, ouvert à tous, défendant toutes sortes d'exclusion et d'injustices de toutes personnes en situation régulière sur le territoire français ; grâce à ce nouveau programme et à cette nouvelle approche sociale, culturelle et sportive, notre association s'est développée dans les plus importantes villes de France :

Marseille, Bordeaux, Lyon, Nice, Toulouse, Lille, Cannes, Cagnes sur Mer et Strasbourg.

Mais aussitôt arrivé à Marseille, l'injustice et le racisme barbares frappent de nouveau les fondateurs de l'association, en effet déjà on nous refusent certaines personnes qu'on voulaient prendre en C.E.S et en emplois de villes ce qui aurait permis la périnisation et le développement de l'association ainsi que la création de certains emplois, chose que l'Etat encourage par tout moyens et surtout que le coût est du franc symbolique. Mais suite à notre insistance à vouloir nous implanter dans cette ville et à notre participation à des émissions de radio, peu après, alors que nous étions absents pour des raisons professionnelles, une saisie avec vente aux enchères à été organisée par le syndique de l'immeuble pour soit disant des retards de charges. Il s'est permis de saisir des biens meubles de l'association et des biens immobiliers du fondateur de l'association sans les informer ni leur donner un délais alors que les soit disant charges ne représentent que la consommation d'eau alors que ces locaux donnent sur la rue et non point de contact avec l'immeuble pour comptabiliser des charges énormes. La seul charge qui peut être comptée est l'eau. En 1995 à Paris, alors que nous travaillons sur le projet d'un livre, les trois personnes en C.E.S se sont vu annulés leur contrat et l'A.N.P.E ne voulant plus passer nos annonces pour trouver des remplaçants ainsi que la D.D.T.E ne voulait plus nous accorder d'autres contrats.

Arrivé à Lyon en juin 1995

15 jours après nous avons obtenu le droit à un local grâcieusement d'association avec tout le service compris (chauffage, E.D.F et Telecom) mais les problèmes surgissent avec la D.D.T.E après avoir ambauché une personne pendant un mois qui s'est vu proposé un autre poste et après qui la D.D.T.E ne voulait pas renouveler d'autre contrats. Comme vous pouvez constater il y a une volonté raciste et sectaires qui voudrait nuir à notre association. D'où vient cette volonté... ?

Arrivé à Lille en 1995

A la maison de la nature nous avons obtenu un accord de principe pour la location d'une salle mensuellement qui servirait au développement de notre association dans cette ville ainsi que la création d'emploi. Mais comme nous n'avons pas pu obtenir le parainage par une association déjà sur place, très engagé politiquement de gauche qui voulait nous imposer une règle de conduite devant notre refus de ne point nous engager politiquement tout à été remit en cause alors que nous avons déjà réservé la salle et rempli le double du contrat à la maison de la nature.

Arrivé à Nice en 1996.

A nouveau les problèmes surgissent pour nous faire barrage, qui commenditte cela... ?

Avril 1998 nous avons obtenu la location de trois locaux à Nice et un à Cagnes sur Mer qui est actuellement en cours de travaux car c'était un local brut coffrage dans lequel il a fallut installer les sanitaires, l'eléctricité, peinture, plafond, carrelage, vitres, rideaux métalliques... pour un futur cyber-café. Puis un autre local à la Résidence Saint Maurice dans lequel nous avons commencé à aménager et déjà installé les sanitaires, l'électricité mais lors de l'installation de ces sanitaires, des voisins ont commencés à nous faire des histoires à connotation sectaires et en notre absence ils ont forcés la porte avec l'aide d'un agent de l'OPAM et ont prétendu que c'était les forces de l'ordre qui ont forcer la porte. Ensuite ils ont dénigrer tout accords de location alors que nous avons signés un bail commercial de location. Toute cette histoire est baser sur les pleintes de quelques voisins qui ont une pression et un pouvoir à faire flaichir l'OPAM à leurs caprices car il y avait des rumeurs que l'association R.C.R était une filiale de S.O.S Racisme et comme c'est un quartier larvé de stupides extremistes qui ne sont reconu nul part, voyez les dégats que cela peut faire !

En octobre 1998 nous avons procédé au changement de la porte qui était cassé et abimé mais le jour de l'installation alors que les ouvriers étaient en train d'installer la porte à nouveau ces voisins commencent à rouspéter et à faire des histoires.

En février 1998 à Bordeaux.

Nous obtenons un accord de principe pour la location d'un local qui servirai de Cyber café à notre association mais malgré l'accord de principe et il nous restait qu'à signé le bail hélas tout à été remis en cause et le local est toujours fermé et non louer alors que ça aurait fait notre bonheur et contribué à la création de six emplois.

En 1998 nous obtenons le droit à la location de trois locaux à Nice, à l'Ariane et à Cagnes sur Mer. Ainsi que l'accord de principe pour un foyer .

Aussitôt nous avons commencé à aménager le local de Cagnes sur Mer en Cyber café, mais encore une fois quelques difficultés surgissent ce qui retarda l'ouverture du Cyber café.

Ceci n'entama pas et n'entamera pas, cependant la détermination et l'acharnement de l'association "Le Rassemblement Contre le Racisme" qui continue et continuera à lutter contre toutes les formes d'exclusion et de rejets de l'autre.